Sous l'ombre des terrasses s'échangent des secrets de théâtre à faire en oublier le moite printemps. Les yeux captifs s'enroulent autour des sons, et même Pierre de sa tour ocre et ornée est attentif, ses anges vers eux enjôlés. Il n'y a plus de toile de fond, et néanmoins toutes perspectives ouvertes se racontent silencieusement, intimes. Tout s'absorbe chaleureusement et les minutes se résorbent. Tout est quiétude, et promesse induite d'aube nouvelle, d'un automne lumineux.
Des vues
Des vues
la chaleur s'absorbe aussi par les yeux, la douceur par le regard, la promesse par les mains en calice providence maternelle
RépondreSupprimer(douce et paisible photo)
Christine
au vase boire à l’œil cette chaleur, le contact fin et juste que les yeux ne peuvent que couver. Atteindre la plénitude en l'instant, et le recouvrer en souvenir.
RépondreSupprimer(merci)
Un instant de bonheur
RépondreSupprimerà saisir et l'objectif le montre bien
merci, ... à eux aussi... ;-)
SupprimerLes enfants nous donnent souvent ce dont on a trop besoin. De l'amour et de l'écoute. Tout ça dans un regard. Merci Cédric pour ces jolis mots et cette jolie photo. À bientôt, chez nous <3. Païline
RépondreSupprimerAu milieu de tous ces bordelais, je te renvoie l'invitation ;)
RépondreSupprimerPas de quoi, merci à toi et à vous aussi...
A tantôt !