En bute aux marées qui l'érodent sans fin,
les doigts gourds,aveugles et sourds aux vaines sépultures,
graveront sans trêve, en crêtes, rides et gerçures.
du regard aveuglé
des doigts trop fins
des bouches creuses
sortiront, enfin,
du fond de nos jours et de nos nuits
fantômes d'écume
pour toujours
en nous
retenus
Regard à la hune, sable trop fin, aujourd'hui et demain,
En lutte aux marées qui l'érodent sans fin,
les doigts gourds,aveugles et sourds aux vains souvenirs,
graviront sans trêve, en crêtes, rides et gerçures.
du regard dévoilé
des doigts sans fins
des bouches pleines
sortiront, enfin,
du fond de nos jours et de nos nuits
fantômes d'écume
pour toujours
en nous
dé-tenus
merci à Christine pour sa participation involontaire
Quatre rames
Deux mois de circulation vague
RépondreSupprimerDeux mois de rames, d'écueils
Deux mois de pêche miraculeuse
Combien encore ? A voir
Ces derniers temps, désertification
de la fréquentation, quelques mouettes
égarées errent encore
Combien encore ? A voir
Salut à vous !
Le courant des marées est fluctuant
RépondreSupprimerle rythme des saisons à la page fluctuant
les mouettes rieuses & capricieuses
perchées en haut de dune, parfois moqueuses
guettent les traces
au matin en dédicace
Christine
à la page exigeant
RépondreSupprimererrare huma.....
Christine
la marée est fluctuante
RépondreSupprimerle mouvement, immuable
lunaire, très lunaire
RépondreSupprimerChristine
c'est cela
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