Dans le sombre de -la croisée des pas-, c'est bien de ressourcement, de reprise de soi qu'il s'agit... Les quelques grains que je garde au fond de la poche, pour me rappeler la mer trop lointaine...
au nez à l’œil au cœur aux tripes les sveltes mouettes la couleur de l'iode l'infinité des plages la résistance à l'urbain la grandeur fragile des falaises les parties de soi la résistance ensemble la construction des ponts pour franchir les terres noires et retourner blanchir au sel de la mer...
peaufiné au geste
RépondreSupprimerparcheminé au temps
vélin sensible
témoin de nos lignes
de vie
possibles
Christine
calé à l'effort
RépondreSupprimerépaissi à la pelle
conforté au corps
se réchauffant d'elle
en combattant
d'impossibles
à l'impossible
RépondreSupprimerla main rassure
au possible
la main accompagne
caresse le cuir
fait de ses grains
peau
à chagrins
Christine
fait de ses grains
RépondreSupprimerde vaines sculptures
des édifices de sables
fait de ses grains
peau
à chagrins
à câlins...
jolis grains...
RépondreSupprimerChristine
:-)
RépondreSupprimerDans le sombre de -la croisée des pas-, c'est bien de ressourcement, de reprise de soi qu'il s'agit... Les quelques grains que je garde au fond de la poche, pour me rappeler la mer trop lointaine...
on l'a à l’œil,
RépondreSupprimern'est-ce pas ?
toujours au coin de l’œil,
ça sent bon l'air marin
ça aide à respirer...
Christine
au nez
RépondreSupprimerà l’œil
au cœur
aux tripes
les sveltes mouettes
la couleur de l'iode
l'infinité des plages
la résistance à l'urbain
la grandeur fragile des falaises
les parties de soi
la résistance ensemble
la construction des ponts
pour franchir les terres noires
et retourner blanchir au sel de la mer...