Gyrophare satellite,
tu alertes la nuit.
Ongle blanc à minuit,
tu rougis de ces heures
passées, dévoilées,
volées du regard.
Au matin, joue sanguine,
tu avoues à demi
le crime que la glace
tait.
Éclair graphite
qui s'évanouit
à l'heure lumineuse,
On en reviendra
à l'heure du loup
s'en raconter,
toi,
des cris nocturnes
moi,
des outrages du jour.
l'oeil cille
RépondreSupprimerla main tremble
l'aube avoue
au jour
ce que nuit
lui confie
ignorant l'outrage
l'ombre portée
aux rêves
inassouvis
Christine
tant que le cœur
RépondreSupprimerau temps
palpite autant...
le vent l'emportera..
RépondreSupprimerChristine
poussières nues aux nues enterrées...
RépondreSupprimeren pelletées sauvages
RépondreSupprimerdispersées
aux quatre vents
le cœur s'y retrouvera
Christine
en outrage du temps
RépondreSupprimerou en mémoire d'enfants.
passe le temps
RépondreSupprimerla mémoire gagne en souvenirs
ce qu'elle perd en oublis
le vent disperse
les odeurs des corps chéris
images diffuses
rétines mélancoliques
à trop vouloir se souvenir
on oublie
Christine
- très fort - (je casse un peu le fil, désolé)
RépondreSupprimerLa conclusion incise tout autre commentaire...