Il peut se dissimuler, il n'en est pas moins présent. A l'inverse, affiché en façade, il peut être faussé.
De sang et d'ardoise, il est friable au temps, autant qu'effeuillé de sa circulation entre les contractions et les flux.
Sans rien posséder, il se présente comme une carte à jouer, pour laquelle on est prêt à faire tapis, se faire tapis, marcher dessus, marcher de quinconce ou de concert.
Sans rien posséder, il se présente comme une carte à jouer, pour laquelle on est prêt à faire tapis, se faire tapis, marcher dessus, marcher de quinconce ou de concert.
Ainsi, sa détention signifie la calcification du désir autour de l'organe de l'orgasme, et sa tension vivifiante.
- C'est le cachet de l'altérité -
à jouer du cœur, cruelle Judith s’entend
RépondreSupprimeren pourpre et palpitant
…
http://youtu.be/sR8h7YW9-nY
« La reine de cœur » (la courte paille)
Francis Poulenc sur un poème de Maurice Carême
Mollement accoudée
A ses vitres de lune
La reine vous salue
D'une fleur d'amandier
C'est la reine de cœur.
Elle peut, s'il lui plait,
Vous mener en secret
Vers d'étranges demeures
Où il n'est plus de portes,
De salles ni de tours
Et où les jeunes mortes
Viennent parler d'amour.
La reine vous salue;
Hâtez vous de la suivre
Dans son château de givre
Aux doux vitraux de lune.
A premier abord, des allures de reine des glaces, pourtant prêt à réchauffer l'âme au corps.
RépondreSupprimerS'apprend à ses dépens, que tous ne sont pourvu de cet organe, d'où cette question biologique : comment se meuvent ces corps sans cœur ?
Nymphe en eaux perdues,
RépondreSupprimerà croiser Narcisse,
devient Sylphides perdue aux vents
Pas sur que Paracelse eut été d'accord avec ce revirement, chavirement, quoique avec alchimie, Narcisse eut certainement fait bon œuvre...
SupprimerMe voilà saisie par le texte de Stig Dagermann, dessous. Un de "mes" textes, si je puis dire... Du coup, mon commentaire s'est envolé...
RépondreSupprimeréchoué un commentaire sur ces rivages
RépondreSupprimermarée traitresse a emporté les mots
de ma dame de cœur
Un texte pour beaucoup apparemment, tellement que je pense l'enlever, en fin de compte. Qui le lit vraiment ?
RépondreSupprimerPuis pragmatiquement, il s'insère comme texte quand je fais le lien d'une publication sur un réseau social.
Il assurait une ligne de conduite, puis, après tout, comme la marée, on l'a dans le cœur, donc, oui, bientôt, il s'en retirera.
Reviendra-t-il, ce commentaire, se poser sur la toile la déchirer ?