On attend toujours beaucoup de la légende. Il n'en vient jamais l'attendu, souvent beaucoup moins.
En attendant la nuit, la lumière se fond, et le décor floue. Et la silhouette n'est pas sûre de la frontière entre le tronc et l’œil. Bientôt le plafond sera au sol, l’œil couché peut-être, sans plus attendre.
On entend toujours beaucoup de la légende. Il n'en vient jamais l'attendu, s'en venir à l'écrire.
Suis bien sorti du Val sans Retour.
Il s'en vient souvent plus, l'inattendu, mais le coeur est-il assez ouvert que pour l'accueillir?
RépondreSupprimerDes vieilles légendes, il y a souvent beaucoup, mais peu qui s'en ravive. On les connait et si bien, qu'on en a tracé d'immenses contours, parfois si grand que les lignes laissent de vastes espaces blancs. La légende se laisse aussi parfois mentir. Il y a toujours à cœur d'en écouter et prendre autant que possible, reste qu'il y a toujours à en écrire une part, parfois grande. Et ainsi complémenter deux magies.
RépondreSupprimerBienvenu en ces bords de mer, Gaïann, dont il ne me semble pas avoir déjà croisé le chemin, à la prochaine croisée, si le cœur vous en dit.
RépondreSupprimerTradition orale
RépondreSupprimerGarde souvenir
L’écran se teinte, prend la couleur du couchant
L’œil au plafond
Fixe mémoire
Le papier noircit, confie le chant intérieur
la page noircie
RépondreSupprimercalcine
l'expression
antérieure
et rancie
l'expérience
rançonnée
de là
nouveaux
souvenirs
dessus d'autres
s'emmagasinent
des écrans
de noirs
et de blancs
noir & blanc
RépondreSupprimerencre & crayon
pas de négatif
la bonne typo
pour l'écrire
antigua, gothic,
tempus ou vivaldi
en filigrane le souvenir
un times new roman
RépondreSupprimerun nouveau roman du temps
à chaque ligne
avec assez d'espace
pour lire entre les deux