Là, la ligne a vieilli. Elle s'est épris de ridules, et le passant n'y voit que le bois. La ligne à l'endroit a pris la courbe de l'horloge, encollée à la gueule. Les yeux qui penchent, qui grattent du doigt la matière. Et l'ignorance. Ça se croise. Rien à faire du miroir poli. Là, c'est ma gueule qui sourcille.
T’y peux rien
RépondreSupprimerl’oreille collée à la croisée les secondes battent la cadence
ça résonne dans la tête, ça marque le tempo, ça creuse la ride
le bois durcit la bouche – le cœur reste tendre
http://www.youtube.com/watch?v=XCbkn9vwXMM
RépondreSupprimerles folies ok, le reste ...
Supprimerje n'y peux rien
Un peu de guingois
RépondreSupprimermais qui oserait le difficile
quand tant d'années se profilent
en ces bois ?
tant et tant...
RépondreSupprimeret les rides portent les pleins qui s'effritent
les épaules vermoulues restent en mur écrites
malgré tout, la maison reste droite