Ce qui m'amène ici
l'air de la mer
ce qui me ramène ici
le mouvement
qui amène ici
la pitance même
la courbe d'elle
qui mène ici
la danse du vent
en courant sur l'air
ascendant en descente
le moyen et l'objet
le boyau et le moment
le coup d’œil, d'ailes
ce qui amène ici
le chant des mers
les sirènes ne sont
que sous gros temps
que derrière les brumes
à la corne
ce qui ramène ici
l'instinct du vent
y penser souvent à ce pays d’errance
RépondreSupprimerrives solitaires, séjour d’azur
bercés aux vents d’ouest, aux courants marins
pays d’infinie monotonie, sol d’immense nostalgie
le soir est venu, la tempête s’annonce
au pays d’errance le pas ramène
à la fois l'exaltation
RépondreSupprimeret la mélancolie
la consistance du plat
et l'inconsistance plate
errance de pensées
le vent des terres
a un goût d'éther
Prendre une moue bête.
RépondreSupprimer:-)
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