j’ai escamoté toutes les preuves déraciné les arbres au bord du sentier dilapidé les jours les heures les minutes abattu le temps qu’en reste-t-il ? ......cris au vent ......vibrations ......en cordes vocales étoiles à l'oeil étincelles en cils tendus (désolée pour la mise en page, peux pas faire autrement)
Il en reste ... des gravats secondaires d'instants ... des heurts de fondations éternelles ... des pierres taillées de souvenances ... l’œil d’œuvrer et le couteau dans la main le maître à tendre ses cils comme des colonnes en sculptant d'étincelles la matière des étoiles
Merci beaucoup pour votre excellente étude sur Marie de France. Difficile en revanche de trouver une poésie, tous les lais trouvés sont en ancien français bien entendu. Disposez-vous d'un poème traduit ? Merci par avance.
C'est bien trop d'honneur pour ces quelques lignes sur Marie. J'ai bien entendu l'ouvrage avec les textes d'origine et leurs traductions (non numérisés), sinon, par ici, http://fontenele.free.fr/marie/index.html, vous pourrez certainement trouver votre bonheur. Si ce n'est pas le cas, faîtes le moi savoir. Bien à vous
J'étais en effet allé sur ce site canadien ( à propos, les universités canadiennes sont des mines d'or très chaleureuses) sans trouver de traduction mais l'ensemble de l'œuvre en vieux français. Je vais retourner creuser. Merci.
les traductions sont affichées au centre de la page, dans le tableau... Il n'y a que les verbes à l'imparfait qui ont conservés la forme conjuguée ancienne : -ait en oit, sinon, l'ensemble est traduit. Tous les liens amènent au travail de traduction en français moderne.
Quand les mots sont démarrés, ils sont impossible à arrêter.
RépondreSupprimerQuand les mots sont des marées, ils se posent cible à l'arrête.
Supprimerj’ai escamoté toutes les preuves
RépondreSupprimerdéraciné les arbres au bord du sentier
dilapidé les jours les heures les minutes
abattu le temps
qu’en reste-t-il ?
......cris au vent
......vibrations
......en cordes vocales
étoiles à l'oeil
étincelles
en cils tendus
(désolée pour la mise en page, peux pas faire autrement)
Il en reste
Supprimer... des gravats secondaires d'instants
... des heurts de fondations éternelles
... des pierres taillées de souvenances
... l’œil d’œuvrer et le couteau dans la main
le maître à tendre ses cils comme des colonnes
en sculptant d'étincelles la matière des étoiles
juste un tour de prestidigitation
Supprimerune entourloupe à l'oeil
la coquetterie du lorgnon ? ;-)
SupprimerMerci beaucoup pour votre excellente étude sur Marie de France. Difficile en revanche de trouver une poésie, tous les lais trouvés sont en ancien français bien entendu. Disposez-vous d'un poème traduit ? Merci par avance.
RépondreSupprimerC'est bien trop d'honneur pour ces quelques lignes sur Marie.
SupprimerJ'ai bien entendu l'ouvrage avec les textes d'origine et leurs traductions (non numérisés), sinon, par ici, http://fontenele.free.fr/marie/index.html, vous pourrez certainement trouver votre bonheur. Si ce n'est pas le cas, faîtes le moi savoir.
Bien à vous
J'étais en effet allé sur ce site canadien ( à propos, les universités canadiennes sont des mines d'or très chaleureuses) sans trouver de traduction mais l'ensemble de l'œuvre en vieux français. Je vais retourner creuser. Merci.
RépondreSupprimerles traductions sont affichées au centre de la page, dans le tableau... Il n'y a que les verbes à l'imparfait qui ont conservés la forme conjuguée ancienne : -ait en oit, sinon, l'ensemble est traduit. Tous les liens amènent au travail de traduction en français moderne.
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