j'y repense j'y repasse ta voix valium dans ma tête je crois c'est
ça t'es un mois de mai un mois qui se met se démet griserie
éclaircie pluie glacée liqueur on the rock sueur chaude suée
froide froncement de ciel résonance diluvienne programmation
d'imprévisions qui font pousser la vie qui poussent la vie mais vers
où t'as voulu baiser la bouteille la pénétrer de la langue la bite
t'es aperçu qu'avec la taille du goulot c'est toi qui te faisait
baiser encore encore tu sembles rationaliser nationaliser la pensée
penser par rations de survie à la main la prescription de ta
thérapie familiale tout seul à la main les composants chimiques de ta
décomposition à l'amende les notes désenchantées de ta voix écartelée qui
cherchent à cacher me cacher t'oublies les heures de fil je comprends
je crois le croassement la protection d'eux de toi de moi faux fils quand
tu t'amorces quand tu amorces l'aller-détour du fils prodigue
pudding amalgame de tranches rassies rances et ses fruits déconfits
tout à rassembler j'ai envie de te dire ça va aller mais sait-on où jusqu'où
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire