elle soulève pour toi une montagne immense invisible invincible
érodée d'amour elle soulève ton corps de ton lit de rue ton ru de
macadam te sortir de tes beaux draps pour des draps propres reconnaît
qu'elle aura relevé bien plus que ta bite déridée sa réponse à
tes mots et tes maux c'est qu'on est quelques-uns à causer en
silence et cent patiences sa réponse silencieuse en contactant ton
frère en contractant l'interne la clef dans le contact ça redémarre
le prochain champ de bataille plus au nord le front se déplace plus
haut dans les terres plus haut vers le ciel l'éclaircie dans le gris
tu te souviens le gris avec du rose et du vert du vert-de-gris c'est
par ici ton psy et la guerre la colonne se redresse la colonne
redémarre et deux mois deviennent deux jours et pendant quelques
jours on avisera avec toi un toit le mien le tien un autre guerre
éclair ça s'accélère il y a de la place pour toi un coin de
fauteuil une couverture en bons chiens on crachera des bouts de
nuages de nos gueules d'orages
Vous me faites aimer le ciel davantage que la terre. C'est rare et c'est bon. Merci.
RépondreSupprimerSur un propos terre à terre, il n'y a que deux solutions : avoir la tête dans les nuages, ou se la retourner. Merci de ne pas détourner la votre,
Supprimerau (grand) plaisir de la prochaine, ici ou ailleurs ;)
amitiés
Toujours autant de plaisir
RépondreSupprimerMerci à vous, bonne lecture, la suite est arrivée ce jour,
Supprimerau plaisir (de même), au gré du web-courant !