Personne n'avait relevé
sa radicalisation. Mais tous s'accordaient sur le fait qu'il n'avait
pas assez participé au passé. On ne s'était pas aperçu que cela
avait été déterminant pour sa nature invariable. Même si
actuellement il essayait de conjuguer ses actions en fonction de sa
personne, on espérait au moins qu'il serait à la fois moins passif
et plus présent dans le futur. Ce ne devait être qu'un automatisme
à prendre, une question de temps, d'indicatif. Mais on parlait en
son nom propre. Impérativement, il ne se serait pas qualifié de la
sorte. Avait-il tort de se substituer ainsi ? A voir cette
sainte taxe dans laquelle on voulait le réglementer, l'ordonner, son
cas particulier et sa conditionnelle le confortaient dans l'idée de
poursuivre dans ses propres désinences. Les appositions extérieures
n'étaient qu'artificielles. Après tout, l'état et verbe, c'est
personnel.
Sympa le jeu grammairien ;-)
RépondreSupprimerla tasse de thé du buveur de café ! ;)
RépondreSupprimerLa grammaire n'a jamais enseigné le bonheur,
RépondreSupprimerà trop vouloir conjuguer
on ne peut contenter.
La grammaire nous sert de porte-plume
elle ne nous rend pas meilleur écrivain.
que dire de plus... :)
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