Le ciel a entr'ouvert sa chemise
sur sa poitrine
le froid y déposa son baiser
aux joues rosies
répondit la terre
par la pâleur
les esprits d'enfants
se décomposèrent en feuille
vierge éblouie
quelques bouts de doigts rouges
glissade étrange
pour regarder ces nouvelles
fidélités
crisser dans les yeux
Le ciel a les yeux de Chimène
RépondreSupprimerpour cette contrée
d'où émerge
comme printemps
chaque jour
renouvelé
un mot doux
pour l'accompagner
jalousé des anciens -
RépondreSupprimermerci !