Il paraît qu'il ne paraissait que très peu.
C'est toute la trace pâtissante et impérissable
qu'il restait de son périlleux périple,
qu'on eût pu qualifier de pouilleux,
s'il n'eut été chauve.
Quoique incomplet, c'était pourtant
un homme entier.
c'est bien pour cela qu'il convient d'en profiter, il restera bien peu d'autres pour parler de soi, ce qui autorise un peu d'auto-promotion... Hum, être bienveillant envers ceux qui causent d'eux... ^^
ensuite, trop tard... Alors autant tracer ce que l'on peut, tant que l'on peut (traces de pneus y compris !)
[Adepte de la dissolution et de l'effacement] La plus belle des traces est éphémère telle un nuage rosi au couchant fondant dans l'obscurité naissante.
L'absence rend précieuses et attendrissantes toutes ces/ses pathétiques tentatives de réenchanter la vie, d'essayer d'être soi.
RépondreSupprimerc'est bien pour cela qu'il convient d'en profiter,
RépondreSupprimeril restera bien peu d'autres pour parler de soi,
ce qui autorise un peu d'auto-promotion...
Hum, être bienveillant envers ceux qui causent d'eux...
^^
ensuite, trop tard...
Alors autant tracer ce que l'on peut,
tant que l'on peut (traces de pneus y compris !)
[Adepte de la dissolution et de l'effacement]
RépondreSupprimerLa plus belle des traces est éphémère
telle un nuage rosi au couchant
fondant dans l'obscurité naissante.
parfaitement d'accord, sauf en ce qui concerne la Vénus de Milo, le... ^^
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