De l'incorrection des cieux II
Le petit matin, grivois malgré lui,
aperçut
les fesses des nues rosies par la
fraîche,
surprises par le jour qui alluma la
lumière si tôt
et par la couverture lascivement
glissée.
Il ne détourna pas le regard, et
tendit les paumes.
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RépondreSupprimerincorrects ces cieux?
RépondreSupprimerIls savent vivre et goûter les plaisirs...
(il y a des points de vue intéressants le matin par chez toi!)
les nues en furent-elles d'accord ? Il n'y a rien qui raconte ce qui se passe ensuite...
RépondreSupprimer(c'est ce qu'on appelle "des matins au poil" !)
il est des jours ainsi, on ne sait pourquoi...ce doit être quelque chose dans l'air, dans la lumière...
RépondreSupprimeroui, dans la lumière.
RépondreSupprimeret c'est son éphémère qui rend la chose belle.