Hier, ou aujourd'hui, dans le temps froid d'hier à aujourd'hui, la quinze millième page a été lue, tournée ici, comme la quinze millième pierre oculaire posée sur ces lignes.
Ainsi la bâtisse prend forme et rotondité, tout autant par le tailleur, que par ceux qui par leur passage lui donnent sa véritable forme, palpabilité, sa réalité.
Remerciements, et amitiés.
Une belle assise de pierres
RépondreSupprimerun appareil soigné de mœllons
tout est là pour que la tour s'élève et signe.
un bien joli mot, merci
RépondreSupprimerSouvent, chaque fois même, ma pierre oculaire se pose plusieurs fois de suite sur les mêmes lignes. Elle aime bien ça, ma pierre oculaire, c'est un peu comme si elle se faisait des caresses. Alors vos 15 000, vous pouvez les multiplier par "X" car je ne dois pas être le seul à me comporter ainsi...
RépondreSupprimerQue mes amitiés vous soient douces, cher Cédric.
Merci à vous, qui offrez aussi de quoi câliner l’œil et l'esprit.
RépondreSupprimerBonne journée sous nos cieux capricieux.
Pierres, pavés, moellons, grains de sable... tant que ça ne coince pas dans les engrenages, la tempête peut souffler, il en restera bien des vestiges. Rame matelot, rame !
RépondreSupprimerRame comme la pierre... cool... ^^
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