même la guerre
sous le sable qui
s'écoule recule
s'écroule
il y avait le marcheur là
pas à pas sur la grève peu à peu
pas à pas sur la grève peu à peu
ici il y a le marcheur qui
déroule
il reste la nuit
la nuit qui couche
les yeux sur la mer
roule
il y a le sable
s'écoule
la houle
et nous
Cher Cédric,
RépondreSupprimerJe vous conseille de lire Le lis de mer, d'André Pieyrre de Mandiargues, que je suis en train de lire ces jours-ci. Je crois que vous vous êtes perdu près du large, entre deux pages !
Au pas sage, la photo est terrible, elle aussi.
on peut dire que c'est du rapide, dis donc, ce commentaire ! Je prends note du livre, bientôt les vacances...
RépondreSupprimermerci, un petit bout de mer qui manque...
Ils étaient tant
RépondreSupprimeret tant
à avoir pris
autant
à avoir appris
pourtant
le sable roule
entre les doigts
la houle s’enroule
encore
C’était en bord d’océan
à qui offrir maintenant
ce coucher de soleil ?
Qu’est-ce qui a changé ?
ni le ciel, ni les nuages
seulement eux
c'est si bien dit...
RépondreSupprimer