Ils ne comprennent pas. Parfois. Tout ce que tu as. Parfois. Tu l'as tellement fort. C'est toi qui lui appartient. Toi-même. Tu n'es pas à toi. Toi-même. Tu as du mal. Du mal. A comprendre ça. Ils ne comprennent pas. Parfois. Tu déconnectes, déconnes. Parfois. Tout ce que tu as. Le peu que tu as. Ce qui t'appartient. Toi-même. C'est toi-même. Ils ne comprennent pas. Il n'y a rien à prendre. Garde le croc au chaud. C'est inutile. Sers-t-en pour te dépouiller de ce qui gratte. Doucement. Sans donner à la curie. Ils ne comprennent pas. Ils ne luisent pas, eux. Ni de blanc, ni de noir. Ce n'est plus qu'une mastication. Ils ravalent. Ils ont la bouche cariée. Le mot avarié. Ils ne comprennent plus. Garde le croc. Il sait causer. A lui-même. Toi-même.
Une canicule.
RépondreSupprimerDes petites traces autour de soi, en soi.
Une ombre qui revient.
Une cascade à l’intérieur.
Savoir lire ça,
le détachement aussi.
Aussi
RépondreSupprimerUn jour, il viendra, le dégagement domestique.
En attendant, tant de domesticité à apprivoiser...
Ben moi j'ai pas compris...
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