Ce matin, il a endossé
un costume rigoureusement noir, assorti d'un tour de cou d'humour de
rigueur. Il a sorti la cire à chaussures semestrielle et la petite
brosse aux poils à l'air détaché. Il aura au moins les pieds qui brillent. Avant de sortir, il brosse du
revers de l'été son plus sombre chapeau, et roule le premier des derniers clopes. Ce matin, paumé parmi les dents en papier photo de mauvaise qualité, il assiste
l'enterrement des vacances.
A lire ce texte, plein de toiles de Magritte traversent mes pensées.
RépondreSupprimer:)
RépondreSupprimertoujours mieux que de petites araignées ;)