Du souhaitable
le réel
la pluie posée
et sa pause
le premier rayon
l'entortillement
du chant
des merles
dans l'air
la trille
dans la gorge
de l'enfant
brillant
la chape
scintillante
entre le crâne
et la lumière
pas ces souhaits
qui ne souhaitent
qu'attendre
que ça arrive
Du réel
RépondreSupprimerTrès heureuse année nouvelle, cher Cédric, que votre lumière des marées et des vents iodés vous illumine chaque petit instant de vie, vous et les vôtres.
Continuez à nous émerveiller chaque jour par vos mots, croyez en vous !
Transmettez également je vous prie des voeux chaleureux à la délicieuse et mystérieuse Christine, notre poétesse SDF de charme.
Soyez tous deux préservés !
Je te souhaite
RépondreSupprimerLa gaîté
d’une bande d’oiseaux
dans un arbre sans feuilles
la légèreté
du cerf-volant tout petit
dans le grand ciel bleu
la fierté
d’un château de sable
dans un rayon de soleil
l’audace
des traces de doigts
sur les vitres
qui regardent la pluie
l’exaltation
des joues rougies
au chaud de l’été
…
Et que l’année soit légère au Nuage de passage
:)
RépondreSupprimerc'est mimi tout plein tout ça !
[Je te prie de bien noter les efforts que je fais pour aller vers la légèreté -qui n'est pas mon fort-]
RépondreSupprimersi si, c'est bien noté, et tu t'en tires fort bien... :)
RépondreSupprimerOui, aériens les vers de Christine..
RépondreSupprimerSi frais
Qu'on pourrait, l'approchant, prendre un rhume de cœur
...