Les hérons sont passés
sans plus de regret
dessus les marais
aux yeux d'autres cieux
Les étourneaux
ont élu domicile
dans les frênes
pourtant rien
ne les retient
L'émulation
résonne chaude
dans l'air humide
un canonnement
d'ailes
à nouveau
la place
de l'absence
Le cherchant toujours
RépondreSupprimerde tout mon âme
parmi les hauts vols d'oiseaux inconnus
aujourd’hui encore
mon regard a erré
réunissant
RépondreSupprimerdeux antithèses
qui savent
pourtant
s'accorder
Très joli duopoème.
RépondreSupprimer