On en passe du temps à se courir
derrière, tâcher de se connaître, les uns, les autres, soi, au
bout du compte, c'est le même. On découvre l'autre, se découvre en
l'autre, couche un peu en somme se gausse ou désespère de s'être
découvert, voire s'en indiffère. Est-ce là le meilleur moyen de
foirer l'affaire ? Ce qui est plus sûr déjà, c'est qu'on en
passe plus encore à tenter de s'éviter.
Ce qui importe
RépondreSupprimerest-ce se connaître
ou se reconnaître ?
Ce qui nous porte
est-ce le désir de l'Autre
ou le attente de Soi ?
en suspens
RépondreSupprimerl'un est-il véritablement dissociable de l'autre, ou chacun le versant sur lequel s'appuie l'autre ?