des tam-tams ébrouent le bout de vieux
monde passent à la hache les plumes de brouillard l'une et deux
pincées dans les cheveux la natte coupée les tribus de merle
descendent scalper l'air et la cavalerie de lumière le gel à ras de
terre du seuil du wigwam le chien nez en l'air attentif attend
l'ordre et fume c'est un bon jour pour vivre
C'est bon de constater qu'un jour est un réceptacle accueillant pour nos pas. Merci, j'aime beaucoup.
RépondreSupprimer- il en faut aussi, sans haches, où ce sont les sourires qui servent à effiler les couteaux, n'est-ce pas ? -
RépondreSupprimerAvec plaisir, Etienne, à la prochaine