jeudi 7 février 2013

De la cueillette : Du principe de réciprocité II




J'entends dire, du bonheur, qu'il n'y a qu'un pas. Du trou aussi. Seulement la hauteur de la marche n'est pas la même pour passer du second au premier. Il faut être très grand pour la franchir d'une enjambée.
 
 
 
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6 commentaires:

  1. Christine Saint-Geours7 février 2013 à 07:07

    un pas... de porte.
    Entrouverte la porte
    au seuil du bonheur.
    Suffit de faire gaffe
    qu'elle ne te claque pas au nez.

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  2. Cédric Bernard7 février 2013 à 16:47

    Nous ne sommes pas responsables du vent, mais de certains...

    (l'avantage des grands pieds, c'est que ça évite de se les prendre dans le nez ;) )

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  3. Langda7 février 2013 à 18:29

    Les jambes poussent quand on est au fond du trou : on y retombe vite, mais on sait aussi mieux goûter le bonheur de petites choses... Non ?

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  4. Cédric Bernard7 février 2013 à 21:24

    c'est connu, on prend toujours plus de plaisir avec la petite cuillère qu'avec le grande !
    :)

    (même si parfois, rien de tel que les doigts...)

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  5. Anonyme12 février 2013 à 04:15

    des marches depuis le fond du trou

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  6. Cédric Bernard12 février 2013 à 08:44

    certainement une sacré démarche

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