De la bonne et due forme
je sais bien qu'il
faux et qu'il faut ce qu'il faulx il faudra bien et la certitude et
son arc je vois bien faire parti et partir ou faire parti du partir
c'est qu'à force et faible même je sais bien le faux-partir en
faire parti sucer suçoter l'unitaire un dans chaque joue ce qui se
joue et la perte de vie de vitesse la planitude et la platitude qui
devient qui est jour après jour briquée à lisser des broussailles
et la faulx relevée à l'envers retournée la main vers soi la lame
à l’œil et la vitre et ses joints qui s'écaillent secs il y
avait le bâti pas bien important imposant quand même et à refaire
pourtant sur les fondations l'épaisseur n'est plus la même ni la
hauteur il en fallait il affalait il s'en faut peu à présent moins
de présentoir certes maintenant mais un démontoir plus sur la
détente l'autre avec un chien et un canon on peut bien se cracher à la gueule tout seul il y avait devant le bâti
le passible depuis des flammes derrière les fenêtres des flammes en
blanc qui allument jusque dedans le crâne leurs crécerelles ce qui
reviennent il faut la retraite et le revenir mais pour ça partir
ainsi moins sucer moins lécher mais plus soi et aller coller
ensemble les pattes blanches et les pages blanches attendre rien et
compter ou l'inverse atteindre et astreindre un peu aussi on ne peut
pas dire faire le tour c'est revenir sur le même mais le même quoi
on peut sentir la redondance mais qu'y a-t-il de semblable qu'y
a-t-il de pareil le fond d'obsessions et leur carnation le fond avec
le doigt dedans et les faux et les faut partir je sais bien les murs
moins ventrus les courants d'air les courants nerfs et quelques
créneaux qui montent toujours et d'autres en plus et leurs crédos
qui démontent je sais bien je tire je bande et lâche et tombe ou
tombe et lâche l'autre le couard dans sa couenne trouée l'épaisseur
n'est plus la même qu'y a-t-il de pareil de l'appareil le fond
d'aliénations et sa suggestion intégrée je vois bien faire parti
du partir et c'est pas faut ni faulx c'est faux on y va j'y vais je
vais et vase
Je n'ai plus de souffle !! Bel exercice.
RépondreSupprimerdésolé pour le retard de réponse, j'en ai encore le souffle court d'ailleurs,
RépondreSupprimermerci Anne,
au plaisir