jeudi 28 mars 2013

De la bonne et due forme

 
 
 
je sais bien qu'il faux et qu'il faut ce qu'il faulx il faudra bien et la certitude et son arc je vois bien faire parti et partir ou faire parti du partir c'est qu'à force et faible même je sais bien le faux-partir en faire parti sucer suçoter l'unitaire un dans chaque joue ce qui se joue et la perte de vie de vitesse la planitude et la platitude qui devient qui est jour après jour briquée à lisser des broussailles et la faulx relevée à l'envers retournée la main vers soi la lame à l’œil et la vitre et ses joints qui s'écaillent secs il y avait le bâti pas bien important imposant quand même et à refaire pourtant sur les fondations l'épaisseur n'est plus la même ni la hauteur il en fallait il affalait il s'en faut peu à présent moins de présentoir certes maintenant mais un démontoir plus sur la détente l'autre avec un chien et un canon on peut bien se cracher à la gueule tout seul il y avait devant le bâti le passible depuis des flammes derrière les fenêtres des flammes en blanc qui allument jusque dedans le crâne leurs crécerelles ce qui reviennent il faut la retraite et le revenir mais pour ça partir ainsi moins sucer moins lécher mais plus soi et aller coller ensemble les pattes blanches et les pages blanches attendre rien et compter ou l'inverse atteindre et astreindre un peu aussi on ne peut pas dire faire le tour c'est revenir sur le même mais le même quoi on peut sentir la redondance mais qu'y a-t-il de semblable qu'y a-t-il de pareil le fond d'obsessions et leur carnation le fond avec le doigt dedans et les faux et les faut partir je sais bien les murs moins ventrus les courants d'air les courants nerfs et quelques créneaux qui montent toujours et d'autres en plus et leurs crédos qui démontent je sais bien je tire je bande et lâche et tombe ou tombe et lâche l'autre le couard dans sa couenne trouée l'épaisseur n'est plus la même qu'y a-t-il de pareil de l'appareil le fond d'aliénations et sa suggestion intégrée je vois bien faire parti du partir et c'est pas faut ni faulx c'est faux on y va j'y vais je vais et vase
 
 
 

2 commentaires:

  1. Je n'ai plus de souffle !! Bel exercice.

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  2. désolé pour le retard de réponse, j'en ai encore le souffle court d'ailleurs,
    merci Anne,

    au plaisir

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