surpris
lire un peu pas plus que les lignes de
ta main
pénétrer le détail de la peau sans
entrer
un peu plus qu'en surface éparse de
ton nu
pris sur
c'est quand tu expires bien plus
profondément
c'est quand je respire bien plus
profondément
susurre
raconter de bouche pleine sillons et
plaines
s'enserrer sans les mains s'insérer
quelques restes
et vivre un peu plus corps dans le
souffle en viager
pourtant
c'est quand tu expires bien plus
profondément
c'est quand je respire bien plus
profondément
sous-tend
qu'on signe en notre sein le bail la
rémanence
d'invisibles grâces dont on ne sait
encore
le bon ou le mauvais scellé au clos
des yeux
pour sûr
c'est quand tu expires bien plus
profondément
c'est quand je respire bien plus
profondément
haaaa respirer expirer l'intime
RépondreSupprimerc'est vie et mystérieuse alchimie ...
j'ai apprécié ce souffle poétique
merci Mijo, j'accueille avec plaisir !
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