Il y avait quelque chose
de porteur dans l'écriture. Ce devait être un mur. Tu briques après
brique et les teintes ressortent, la vraie couleur de l'ancien remis
à neuf, ou presque. Qui laisse voir la couleur d'avant dans les yeux
de l'instant. Il y avait quelque chose d'une porte mais qui se claque
sur la sortie. Une sortie de là, une sortie des temps. C'est cela,
une fois que tout est sorti, c'est un peu comme tout mettre derrière
avec le vice de se le mettre devant à volonté. Ne plus avoir sur
les bras mais dans les pattes. Regarder une volonté que l'on a pas
ou qu'on ne veut plus. Elle a bien fait avancer, d'avancer ses
propres mots, les assigner, les ressasser, les déplacer pendant
qu'ils ordonnent. Mais une fois que tout est rangé ? Quelle est
la place ? Où se place ? Remuer la poussière éclaircit,
rend l'espace autour plus clair, net. Et le nuage sur soi s'est
reposé en pluie grise, entre cape et chape. Elle laisse des traînées
d'être derrière tandis qu'elle l'enferme, se renferme dessus et sur
elle. C'est préparer à une couverture, nuageuse à la tranche.
Réparer à une ouverture, archivage à la tronche. Il y avait
quelque chose de porteur mais qui se fait porter et la charge dilatée
est trop grande pour entrer. Plat. Désert. Plat. Résistance.
Illusion d'entrée dans le mur, brique après brique, pavé mortier
mors urée mots mansardés idée lézardée. Évacuation.
Il reste des bouches d'égout qui ont encore de la gueule.
Il reste des bouches d'égout qui ont encore de la gueule.
approché
RépondreSupprimerpas à pas
touche après touche
mot après mot
avec l’œil toujours neuf
Il est des chemins sombres qui recèlent plus d’ombres que de lumière ; des murs où la promesse d’un enchantement fourmille ; des pierres qui se creusent entre onirisme et toucher abrupt, il est aussi d’autres
ponts de nuit entre chemin stellaire et goutte de rosé...
D'autres oui
RépondreSupprimeret nous allons...