la route
résidentielle
pas celle que l'on prend
celle qui nous emprunte
nous empreinte
à la plante des pieds
plantés de peine résidus
faire tremper
l'eau de mer
ce qui ronge
le long la route
résiduelle
ronge
et plante
des pieds de mer
Joli flux qui fait entrer le sens par les sens.
RépondreSupprimerEst-il bizarre que ce poème me donne envie de réécouter "Les Bras de Mer" ? Non, hein ?
non, pas vraiment ;)
RépondreSupprimermerci pour vos lectures, Stéphane, au grand plaisir !