Pluie tonnelle tonneau les perles roulent sur la toile polyuréthane.
Micros fracas entre-chocs et flaques. Flocons de pollen à peau de
l'eau poussés en l'état de l'étang décrochent le fond, rêvent de
lorsque s'envasaient à l'air. Épis de foin mouillés germés
disséminent enfouissent et rejaillissent mines à rédiger de
nouvelles lignes du doigt au ciel, épis éparses les bordures les
bornes. Canard noir la patte portée par un bois mort qui n'est plus
de bois, portée par un mort bien moins noir que l'eau. Ciel abattu
se pose sur le sol ses enzymes sur la cime les peupliers et le héron
vire de fausse maladresse entre les rideaux décrochés bals taquins les baldaquins des saules
têtards. Comme l'orée obscure de ses phalanges s'accrochent dans
l'atmosphère l'abandon se voit descendre se précipiter lentement en
même mouvement s'accroche persiste.
Il y a quelque chose il y a un quelque chose de la permanence.
j'ai aperçu la bécasse dans l'aquarelle de tes mots
RépondreSupprimeravec sa plume du peintre au coin de l'aile
http://laurencesaunois.free.fr/BECASSE.htm
c'est que le tableau est plutôt bien dépeint alors :)
RépondreSupprimer(le travail de Mdme Saunois me fait un peu penser à celui d'Irène...)