(...) Je me rappelle la caresse
que nous avons ébréché dans sa lame elle nous a taillé des
sourires gravés dans les os. A présent si l'on me souffle dans les
bronches j'ai le corps ocarina qui joue l'air de toi.
(...) Tu refusa la
bougie la température de la peau t'as effrayée autant qu'elle
t'attachait l’œil et la matière. Tu n'as trouvé que cette
histoire de molécules pour t'en séparer, paraîtrait ainsi le
sentiment est sécable pour le moins miscible dans la larme, nous
avons vérifié. Le temps qui n'était pas pour nous ne nous a pas
cru nous a ravalé, et de nos deux crochets que nous avions suspendu nous a planté.
court extrait d'un travail qui court...
Merci Joël, j'ai bien eu le commentaire.
RépondreSupprimerLa prochaine étape, il sera visible !
J'espère que le jour où la version complète sera lisible, tu la trouve aussi à ton goût !