j'habite
sous ton toi qu'importe s'il ne veut pas de moi je viens y joindre la
dislocation d'un nôtre j'y viens disjoindre
tu
détournes ton regard comme la mer se retire je vois tes yeux font
marée basse et le sable s'assoie sur les bancs nous espace
j'entends
ton murmure d'une autre plage où la laisse s'agrandit la corde tire
c'est comme un tirant entraîne ce qui des alluvions
tu
ne diras ni où tu étais ni où nous en étions comme pour noyer le
silence des poissons dans les brisures d'écumes
je
grave avec les yeux la surface de l'eau les heures qui coulent et
celles qui remontent à la surface en agitant les bras
le
sel siège sous les lames se resserrent je peux juste dire là le
soleil dans la mer la mer dans le ciel se resserrent tout flotte fors
le bois
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire