Ça part d'un Quand bien même, lancé d'ici et résonnant chez Sophie. Uniquement d'un Quand bien même, écrit à l'encre noire sur un fond blanc. Il ouvre une, deux, trois perspectives, des gestes et des formes. Sophie revient avec la couleur de ses visions, l'initiative de mt-galerie, et la proposition d'ouvrir Quand bien même aux mots cette fois-ci.
Le premier des livres pauvres sonne donc comme cela :
merci (beaucoup) à Sophie Brassart et à mt-galerie pour cette collaboration
C'est magnifique ! Une belle collaboration, l'encre de Sophie se noie dans les mots ou est-ce l'inverse ?
RépondreSupprimerMerci pour tous deux,
Supprimerles mots viennent ensuite