samedi 12 janvier 2013

Des corrélations

 

 
On en passe du temps à se courir derrière, tâcher de se connaître, les uns, les autres, soi, au bout du compte, c'est le même. On découvre l'autre, se découvre en l'autre, couche un peu en somme se gausse ou désespère de s'être découvert, voire s'en indiffère. Est-ce là le meilleur moyen de foirer l'affaire ? Ce qui est plus sûr déjà, c'est qu'on en passe plus encore à tenter de s'éviter.
  
  
  

2 commentaires:

  1. Ce qui importe
    est-ce se connaître
    ou se reconnaître ?

    Ce qui nous porte
    est-ce le désir de l'Autre
    ou le attente de Soi ?

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  2. en suspens

    l'un est-il véritablement dissociable de l'autre, ou chacun le versant sur lequel s'appuie l'autre ?

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