dimanche 18 mars 2012

De la cueillette : Du jeu d'enfant





Il y a ce jeu enfantin qui consiste à frapper aux portes, et puis s'enfuir. Lorsque la porte s'ouvre, l'enfant a deux réponses, qui le distinguent. Le premier s'en trouve bien confus. Le second, se porte, et salue.



De la cueillette, Des vues

3 commentaires:

  1. Vos poésies, vos textes sont toujours exigeants. Ils dérangent avec douceur. On vous lit au quotidien et c'est grand bonheur. Merci et bravo !


    ps : vous noterez, comme indiqué ailleurs, que j'ai enfin fait la différence entre les deux Cédric !

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  2. toujours, en jeu comme en vie,
    assumer jusqu'à l'épilogue
    (dût-il être lamentable)
    tous ses actes
    toutes ses paroles
    Christine

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  3. JMT : Ce n'est que trop d'honneurs, et ne le mérite certainement pas, mais je prends bien note, car les visites se font rares, et suggèrent un désintérêt croissant. Quoique je ne cherche le nombre, savoir que quiconque puisse y trouver une certaine substance revigore un tant soit peu l'élan...
    Je viens de m'en apercevoir, je n'en avais eu les notifications... Non pas que je harangue mon identité (ce n'est d'ailleurs pas moi qui faisait la distinction), il est vrai que le propos est divergeant. Je vous toucherez alors prochainement mot de Marie, en ce cas. ;-)

    Christine :
    le sens est si bien saisi...
    qu'y ajouter de plus...
    Grandir, n'est-ce peut-être qu'un élan perpétuel que l'orgueil n'aura porté qu'aux premières heures humaines. Ainsi, il est toujours besoin de se porter, au fil des âges...
    :-)

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