dimanche 25 mars 2012

De la cueillette : De la tenue debout

Il n'est rien de plus droit que les colonnes des parlements, des palais et des temples. Ainsi, pourquoi attendre de la droiture de la part de l'Homme ?

5 commentaires:

  1. Rien à voir avec votre texte, quoique.
    Le pier, n'est-ce pas celui du Tréport ? Ca fait un bon bout de temps que je m'interroge. On est en tout cas proche des images de la sublime Côte d'Opale.

    Vu hier soir à la télé une délicieuse émission sur Le Tréport et sa flotille de pêche, ceci expliquant peut-être cela.
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    Toutes mes félicitations pour vos poèmes dont je me délecte chaque jour.
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    Marie de France : il faudra si vous en convenez m'en dire un peu plus encore. J'avoue avoir un peu de difficulté à établir mon opinion sur ce "romantisme" originel et je serai très heureux de publier votre communication. Amitiés.

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  2. Vous n'êtes pas très loin, il s'agit de Cancale. Pour d'autres, vous avez aussi bien vu... Il en va aussi de la Côte d'Opale. Enfin, pour l'instant, les vues proposées partent de la Côte d'Opale, pour descendre jusqu'en Côte d’Émeraude. il y a des nourritures dont on ne peut se passer... Mais chut ;-)

    Voilà déjà un certain temps que je ne glose plus sur les auteurs, mais vais réfléchir à Marie, et raviver ces souvenirs enfouis pour développer ma pensée souvent concise (défaut avoué).


    Pour la prose, une nouvelle fois merci aussi, de passer régulièrement dans ces eaux troubles, qui vont certainement suivre les grandes marées bientôt (je développe [;-)] : comme il y a de grandes marées, ou montée d'eau plus importantes, elles s'en retirent aussi en conséquences).

    Bien à vous

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  3. Problème de carrure, debout (ou assis devant sa table), l’homme boude les lignes trop droites

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  4. quitte à être parfois tordu par trop
    oubliant les millénaires passer
    à se dresser d'arrière

    même courbé, à terre ou gauche
    je préfère tendre au ciel
    sans pour autant par ailleurs
    suivre une ligne droite

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    1. suivre nos courbes
      les méandres du cœur
      qui manient
      les jambes d’albâtre
      piliers de nos temples
      intimes

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