lundi 20 février 2012

De la variété

La politique n'est qu'une variété publique de la pédagogie.
Chacune manipule son public pour l'amener à un point bien défini
sans qu'il en est forcément le sentiment d'y être guidé.

3 commentaires:

  1. comme dirait Léo,
    "Comme si je vous disais que la révolution c'est peut-être une variété de la politique
    Et je ne vous dis rien qui ne puisse être dit de "variétés" moi qui ne suis qu'un artiste de Variétés"

    comme si je vous disais que la révolution c'est peut-être une variété de la pédagogie...
    Et je ne vous dis rien qui ne puisse être dit de "pédagogie" moi qui ne suis qu'un artiste de ... de quoi au juste ? ...

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  2. artiste de ...il faut l'être de tout et de plus encore pour se produire chaque jour devant une salle prompte à réagir, à adorer, à détester (rare quand même, enfin ça dépend de l'âge du spectateur!) ou critiquer (riche la galerie des surnoms)...
    La représentation dure et se renouvelle...
    que le pédagogue se questionne sur l'art de la question, ça c'est révolutionnaire !
    Comment manipuler en posant question.
    (j'avais fait un premier commentaire sur le pédagogue et la manipulation, non posté car j'étais gênée par le titre, j'avais lu "de la vanité", penser profiter des vacances pour prendre rendez-vous chez l'ophtalmo!)

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  3. Certes, la représentation a lieu chaque jour (le public adolescent difficile est plus prompt à détester et difficile à contenter...).
    La vanité par contre concernerait vraiment ces politiques qui pensent manipuler impunément. D'un autre côté, combien n'ont pas vu arriver Mr Nicolas, avec ses gros sabots...
    La question, pour peu qu'elle suscite un réel questionnement au(x) concerné(s), est un formidable outil de manipulation...
    Mais bon, peu d'artistes ont la côte, de leur vivant... Question de manipulation, ou de révolution ?

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